Valérie Messikadirectrice artistique de la maison de joaillerie Messika et fille du célèbre diamantaire André Messika, a récidivé en réunissant à Paris de nombreuses personnalités connues pour montrer, en son deuxième défiléla collection Haute Joaillerie Au-delà de la lumière où il explore le monde fascinant et mystérieux de l’Égypte ancienne.
L’Égypte ancienne était une civilisation qui continue de fasciner toutes les générations et toutes les cultures. Il émane un mystère, une aura presque magique qui évoque l’éternité. C’est aussi un monde qui insuffle une spiritualité puissante et inspirante
Les bijoux, comme une pluie d’or et de diamants, sont le reflet de la savoir-faire de la firme et la La créativité de Valriequi parvient à refléter, avec la pureté des formes et les lignes graphiques des diamants, une collection rétro-futuriste imprégnée d’Egypte et de mythologie.
Une mise en scène unique : Haute joaillerie sur allures sportives
Sur le podium – avec les mannequins portant vêtements de sport adidas-, des plastrons impressionnants, des pièces transformables, des sautoirs et des colliers plastrons et des boucles d’oreilles XXL ont brillé.
Mais la pièce la plus spéciale, le chef d’oeuvre de la collectionc’est le collier Akh-Ba-Ka, qui clôturait le spectacle sur le col du top Naomi Campbell.
Le joyau de la couronne de Messika
Le collier Akh-Ba-Kaqui rend hommage au mythique scarabée ailé égyptien, exigeait plus de 1 000 heures de travail pendant 6 mois de cinq bijoutiers à plein temps.
Cela est composé de 2 550 diamants très spécial où se distingue l’un des 33 carats, qui est le protagoniste absolu de la pièce, avec un sertissage de 800 diamants.
Ils viennent tous de un diamant brut de 110 caratsque le bon travail des joailliers parisiens de Messika a pris tout le jeu et brillé, créant un total de 71,49 carats.
La pierre de 33 carats peut être détachée du collier et devenir une broche